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Bonjour Anne-Lise Ravey, J’apprends à l’instant (grâce au dépliant « Chère Comtesse » trouvé dans ma boîte-à-lettres), qu’a eu lieu vendredi 9 septembre au Manoir de Valeyres-sous-Rances le vernissage de votre livre sus-mentionné… L’aurais-je su plus tôt, je m’y serais jointe à vous. Mon mari était Gilles Barbey, architecte. Nous vivions 47 ans à Colombier sur Morges une vie passionnante. La Comtesse était une de ses cousines lointaine… Deux ans avant son décès, nous avions déménagé à St.Sulpice. Lilly Bornand, présidente du groupe de lecture de St. Sulpice, a qui je viens de parler, m’a raconté votre rencontre. Marie Anna Barbey, ma cousine y était égalemen ainsi que d’autres membres de notre famille. Quel regret pour moi… J’aurais adoré vous rencontrer. Il s’avère que mon livre « Mots Entrelacés » (Que notre joie demeure) vient d’être publié en mai dernier. En voici le descriptif :…..
« Tout démarre le 16 janvier 1954 au cours d’une soirée zurichoise où l’essentiel se joue déjà. Un jeune homme timide, une jeune fille plus délurée, une rencontre foudroyante, un tourbillon de danses, de jazz, le rythme des années 50 avec «Petite fleur» de Sydney Bechet et l’orchestre de Claude Luther. Gilles et Béatrice tombent amoureux, puis, la vie les sépare et un drame survient. Alors ils s’écrivent passionnément. Ils nomment l’amour pour le toucher au plus près, le rendre tangible et vivant. Comment y croire ? Comment aimer dans l’absence ? Comment faire confiance aux sentiments ? Des décennies plus tard, Gilles, « premier fiancé, deuxième mari » n’est plus, Béatrice reprend une à une leurs 222 lettres pour revivre leur passion et leur partage intellectuel. Elle replonge dans leur houle amoureuse pour saisir, au fil des mots, l’éclat intact, l’écume encore vivante de leur amour. L’auteure : Béatrice Barbey-Feer Accompagnée par Hélène Cassignol, écrivaine de récits de vie CHF 36.00″….
Votre trajectoire est magnifique, et, avant de publier, j’aurais bien aimé avoir eu l’occasion de me joindre à un de vos cours d’écriture….
En attendant de vous rencontrer un jour, je vous présente mes compliments et mes messages les meilleurs.
Béatrice Barbey-Feer
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Chère madame Béatrice Barbey-Feer,
Je vous remercie pour votre commentaire. C’est dommage effectivement que vous n’ayez pas pu être présente. Ce fut un véritable bonheur de pouvoir organiser l’évènement dans le lieu même où vécut cette chère Comtesse.
J’espère que nous aurons l’occasion de nous croiser un jour quand la vie décidera de me ramener sur le sol suisse. Peut-être qu’un jour j’organiserai à nouveau des ateliers d’écriture au Tessin ou en Suisse Romande, on verra, je fais confiance à la vie…
Félicitations pour la parution de votre livre, je sais combien le chemin est tortueux pour arriver jusqu’à la publication…
Meilleures salutations !
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Merci, Claire-Lyse Ravey d’avoir si aimablement répondu à mon mail. Plongée dans votre livre je suis bouleversée de voir un parallèle dans la méthode employée avec celle de mes « Mots entrelacés ». Le COVID m’a donné l’occasion de me plonger dans 220 lettres de Gilles, mon premier fiancé et deuxième mari de 47 ans de bonheur…. Je transcrivais des passages écrits par lui, et, lui répondais simultanément en italique comme si nous étions ensemble… Pour vous c’était Katmandou (que nous avons visité, Gilles et moi), et les lettres de La Comtesse Valérie de Gasparin, née Boissier, Cousine lointaine de Gilles du XIX ème Siècle… Nous écrivions vous et moi durant la même époque et nos livres ont été publié à peu près en même temps. Le mien, le 28 mai 2022, 5 ans, jour pour jour après le décès de Gilles… J’ai terminé la lecture de votre livre que Lilly Bornand de St. Sulpice m’a prêté, et, si vous aviez lu le mien…, on pourrait continuer de comparer les similitudes. Je vais commander le vôtre afin d’annoter des passages qui pourraient intéresser mes enfants. Autre hasard page 247, William Barbey, l’arrière grand-père de Gilles, (qui a offert de sa poche le chemin de fer entre Yverdon et Ste.Croix à condition que le dimanche resterait férié)… a travaillé dans sa jeunesse à New York avec son frère dans la maison Iselin Nesser qui commercialisait la soie… Ma famille Feer – Sieber, étaient des grands soyeux Zürichois de l’époque. Ernie Feer, un des 3 frères de mon père, Urs Feer, épousera Cécile Iselin, soeur de Harry et William Iselin, importante famille de Bâle. Leur banque à New York a été rachetée il y a quelques années par l’UBS… Pardon de vous assaillir avec ces détails, mais, le monde étant petit dans ces milieux, et, c’est intéressant d’en savoir plus. Oui, rencontrons-nous quand ce sera possible. En attendant, je vous présente, Chère Anne-Lise Ravey, mes félicitations, et messages les meilleurs.
Béatrice Barbey-Feer.
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Bonjour Béatrice, je souris en lisant votre lapsus initial sur mon prénom. J’en tire la conclusion de l’identité de la personne qui a fait arriver le dépliant « chère Comtesse » dans votre boîte-à-lettres.
Je viens de rentrer au Vietnam, je me replonge dans mon autre vie en espérant qu’un jour j’aurai l’occasion de la mettre en scène dans un prochain roman.
J’adore toutes les histoires que génère le roman de cette chère madame de Gasparin : des retrouvailles, des rencontres, des commentaires, des anecdotes qui se racontent, des discussions autour d’une table ou ailleurs, des cadeaux, etc. Tout cela se fait désormais sans moi, je peux laisser les personnages voler de leurs propres ailes, ils ne m’appartiennent plus, ils peuvent voyager d’un esprit à l’autre et aller là où ils voudront.
Eh oui on parle encore beaucoup de William Barbey à Valeyres-sous-Rances, mais j’ai fait le choix d’en dire très peu sur lui. C’était d’une grande Dame que je voulais parler parce qu’on oublie plus facilement la gent féminine dans mon petit village.
J’espère avoir l’occasion un jour de lire votre récit.
Meilleures salutations !
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Merci de prendre contact avec moi. B.B.F.
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