Et si on parlait de la TERRE ? Non de notre planète, mais de l’un des éléments avec lequel tout commença. Quand j’étais enfant, j’adorais jouer avec de la “papotche”. Il suffisait d’un peu de terre mouillée et l’on s’inventait un monde.
En automne, je récoltai toutes mes peines et les enterrai dans mon jardin. Lorsque avril refleurit et que la terre et le printemps célébrèrent leurs noces, mon jardin fut jonché de fleurs splendides et exceptionnelles.
Khalil Gibran