Si en Colombie c’était en contemplant mon jardin que les mots venaient, ici je crois que ce sera en contemplant le monde d’en haut. Autant la frénésie de la rue invite à l’action, pour ne pas dire à la survie, autant ce qui se passe sur les terrasses de chaque maison m’invite à raconter une histoire. Et puis vous l’aurez déjà remarqué, je suis curieuse, j’ai envie de comprendre chaque symbole…