Bien que nous n’ayons jamais gardé les vaches ensemble, permettez-moi quelques réflexions après avoir pas mal ruminer pour tenter de mieux comprendre les vaches de cette grande ville. Pour l’instant aucune ne m’a fait de coup vache au milieu du trafic, elles sont pacifiques, comme la population. Non, dans ce pays je n’ai jamais rencontré de peau de vache ni entendu personne crier « Mort aux vaches ! » contre les représentants de l’ordre. Ici, je ne dirais pas que je suis dans une période de vaches maigres, sans pour autant vivre celle des vaches grasses, l’important c’est qu’on ne me prenne pas pour une vache à lait. Je ne peux malheureusement même pas vous dire que je parle le népalais comme une vache espagnole (puisque mon vocabulaire a moins de dix mots). La bonne nouvelle c’est que j’adore cette saison où il ne pleut plus comme vache qui pisse.
Ah la vache ! je ne m’étais jamais rendu compte combien les vaches se promenaient souvent dans la langue française ! Allez, on va arrêter avec toutes ces vacheries, même si c’était vachement sympa d’essayer de mieux connaître les vaches de Katmandou.