Eh oui, j’aime bien faire durer les ondes du voyage, même s’il n’a durer que quatre jours… Elles s’envolent petit à petit quand on se replonge dans la routine, surtout quand le rythme de travail est aussi intense qu’ici, mais c’est comme le son d’un bol tibétain, ça peut résonner longtemps si on sait le frapper au bon endroit.
