À peine sortie du téléphérique, je regarde avec interrogation la longue file des gens qui ont choisi d’aller jusqu’au sommet avec le funiculaire. Eh oui, il semble que cette masse touristique se protège de tout effort pour atteindre le toit du Vietnam. Je préfère me faufiler dans le brouillard qui insuffle une atmosphère mystique aux lieux. En grimpant sur les hautes marches, je tente d’imaginer le décor…


