Me revoici au pays des Helvètes avec cette agréable impression de tranquillité. Quelle émotion hier soir de toucher le résultat matériel de tous ces mots cousus sur le papier après des années en compagnie de cette Chère Comtesse. Et pour lutter contre l’envie d’aller me coucher trop tôt, comme on ne peut être poète sans quelques grains de folie, je viens d’aller promener mon livre pour l’immortaliser dans le paysage.
