Si j’ai eu le souffle coupé à la découverte de Samarcande, j’ai été charmée par Boukhara. Autrefois surnommée « La perle de l’Islam », cette ville abrite toutes les splendeurs de l’Orient et ce sont toujours ces immenses coupoles turquoise qui me fascinent le plus.
Des tapis, des couteaux, des bijoux, des habits, des chapeaux, de la céramique, des souvenirs, etc., le choix est vaste car rares sont les monuments où on ne trouve pas d’artisans. Si les caravanes de touristes n’arrivent plus à dos de chameau, c’est toujours un haut-lieu de commerce. J’ai aimé les couleurs et le mouvement des étoffes soufflé par le vent venu du désert.

