Écrire, c’est aussi ne pas parler. C’est se taire. C’est hurler sans bruit.
Marguerite Duras
Me voici plus que jamais au chômage technique. Toutes les écoles sont maintenant fermées ici et l’on s’organise pour mettre sur pied des cours en ligne. Impossible d’arriver ou de quitter le Népal depuis demain. On continue à nous dire que pour l’instant le Coronavirus n’est pas dans le pays, mais le gouvernement préfère prendre des mesures de précaution, sachant que le système sanitaire ne résisterait pas à une crise telle que celle qui sévit en ce moment en Europe. À l’entrée des magasins ou des banques, un employé nous asperge désormais du gel désinfectant, mais les bus sont toujours bondés. Espérons que ces mesures seront efficaces. Mes projets de trek sont annulés, alors je voyagerai dans le monde imaginaire…
Si vous êtes confinés (ou pas), vous me feriez un véritable plaisir en répondant à ma publication du 19 mars, laissez venir les mots avec les lettres de votre prénom… Courage, nous sommes tous les potiers de cette crise. Merci d’avance !
D epuis quelques jours
E t quelques semaines,
N on c’est non,
I l n’y a pas de permissions,
S auf un peu de bonsens pour partager le solidarité.
E t n’oublies pas : l’amour qui prends le dessus, l’espérance qui domine, l’envie de toujours transmettrele sourire et l’amitié.
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Merci beaucoup Denise d’avoir joué le jeu de l’écriture. Si tu as le temps et l’envie, j’ai sélectionné un mot de ton acrostiche pour raconter l’histoire d’un instant, l’envie d’un partage pendant ces heures où l’on attend que la vague emporte au loin nos angoisses :
L’histoire commencera par
– Je me souviens… et inclura le mot « sourire»
Même une seule phrase est un cadeau fait au lecteur. Si tu as envie de partager ton texte, je suis sûre que ce sera un plaisir pour chacun de te lire… Merci d’avance.
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