Ma nouvelle vie ne se résume pas aux promenades lacustres. Grâce à mes expériences népalaises j’ai été tout de suite courageuse pour les déplacements en moto taxi. En réalité je n’avais pas le choix, puisque je dois me rendre deux fois par semaine à l’université pour donner des cours. Comme j’y vais à l’heure de pointe, bien qu’il y ait moins de 9 kilomètres, il me faut environ une heure pour y arriver. Même si j’ai connu le trafic chaotique de Katmandou, je reste à chaque fois stupéfaite devant cette rivière faite de millions de deux-roues qui circulent dans la ville et se faufilent entre les voitures.
