Ce matin j’ai croisé un adolescent qui marchait sur les trottoirs défoncés d’Hanoï en lisant un livre. Il avait l’air tellement absorbé par sa lecture que j’ai presque eu envie de l’interrompre pour lui demander le titre du roman.
En cette période de rentrée littéraire, cela m’a donné plein d’espoir, comme ces matins où on se lève très tôt et le ciel nous offre une belle promesse de l’aube rougeoyante.
