Je me souviens quand j’étais enfant ce qu’évoquait en moi le mot « gratte-ciel »… Comme j’étais une rêveuse, j’imaginais le mouvement que ces hautes maisons devaient avoir tout en haut pour réussir à gratter les nuages.
Aujourd’hui, je rêve toujours et j’aime bien aller voir tout là-haut si ça bouge. Ce qui est impressionnant à Hô Chi Minh c’est de voir ces hauts champignons qui ont poussé au milieu de bâtiments d’autres époques. Ainsi les grands d’hier (mon petit hôtel de 9 étages) deviennent les minus d’aujourd’hui.
