Vivant un peu loin de mes lecteurs pour assurer la promotion de mon roman, j’aime à dire que je laisse cette « Chère Comtesse » voler de ses propres ailes… Et là je ne croyais pas si bien dire ! La voici qui s’envole sur les quais de Neuchâtel sous l’objectif attentif d’une sympathique lectrice. Va savoir, peut-être se précipitait-elle vers cette belle dame, croyant y reconnaître une de ses nobles amies.
Ce joli clin d’œil me réjouit, parce que le port de cette charmante ville me rappelle l’arrivée de la joyeuse bande du Jura en septembre 1856, au moment où les royalistes tentaient de reprendre le pouvoir aux confédérés.
